Synopsis
Catherine is a teenager going through adolescence just as her parents are getting a divorce. Her social life is no better as bullies and boys add to the pressure of growing up in the chaotic '90s.
2020 ‘La déesse des mouches à feu’ Directed by Anaïs Barbeau-Lavalette
Catherine is a teenager going through adolescence just as her parents are getting a divorce. Her social life is no better as bullies and boys add to the pressure of growing up in the chaotic '90s.
Kelly Depeault Normand D'Amour Caroline Néron Éléonore Loiselle Robin L'Houmeau Noah Parker Marine Johnson Antoine Desrochers Ambre Jabrane Zeneb Blanchet Maxime Gibeault Laurence Deschênes Reda Guerinik Emmanuel Schwartz Emmanuel Bilodeau Miro Lacasse Michael Kelly Cassandra Gosselin-Pelletier Dominic Lorange Alexandrine Agostini Axel Pierresteguy Sarah Tourangeau-Poudrier Alexis Gamache Mathys Picard Edith Dandenault Louis-Julien Durso Julie-Anne Émond Amélie Catellier Adrian Cheifetz-Broca Show All…
J'ai décroché après la dixième scène de prise de drogue, c'est-à-dire après genre 10 minutes. C'est tellement générique comme truc... si personne dans la fiction avait dit qu'ils étaient au Saguenay on aurait pu se croire n'importe où au Québec (et d'ailleurs j'ai eu ben de la misère à me faire un espace mental des lieux tant rien ne fittait ensemble; j'imagine que tout a été tourné à Laval sauf les quelques plans d'ensemble d'usage). Je n'ai pas lu le roman, mais il paraît que c'est hyper-ancré dans ce lieu et ce moment précis, le Saguenay en 94: effacer ça, c'est tout effacer pour ne laisser que la coquille vide vue milles fois du film ado depuis Kids, avec du…
Beaucoup aimé la "scène de cul" sur Do you love me now? des Breeders.
... Le reste manque un peu de personnalité. Ça "fonctionne", c'est "beau"... Mais, les personnages secondaires existent pas vraiment... Le setting régional est pas exploité... Les 90's non plus (mis à part 4-5 référents)... Faque... Ouain... C'est dommage.
Me semble que c'était plus distinctif que ça faire de la dope en région dans les années 90... Mais mes souvenirs sont flous.
Noticed this film playing on the plane and decided to take a swing because the subject matter is near and dear. Obviously VERY influenced by Christiane F. - they even refer to it in the film.
Well worth the watch because Kelly Depeault is fantastic. Not only a very bold performance for her age but a performance with depth and true emotion. Looking forward to following her very promising career.
Watched on Air Canada.
A film steeped in adolescent apathy. Not caring what happens to you because anything is better than what you’re dealing with internally. Our lead hurls the words “I don’t care” back into the face of her concerned mother and it doesn’t feel like a hyperbolic teen girl saying something to say it. Catherine, and the rest of her friends mean it when they say it. They don’t care. That is until the true horrors of their shared experiences come to the surface.
A fascinating depiction of its source material in that many of the visual metaphor sequences feel very much so like they’re taken straight from the book. I’m not sure if that’s the most clear way to express it…
1. J'ai mal à mon Saguenay, voire à l'idée même d'une forme de régionalisme du cinéma québécois qui puisse exister dans le vrai monde, en dehors des clichés d'un journal populiste. Le roman était d'ailleurs très beau dans sa simplicité, sa ruralité était décomplexée, elle était cool, loin des regards, des clichés, elle évoquait même une sorte de monde secret. Tout ça pouvait être possible parce que ça se passait loin des centralisations, loin des mains mises. Le Saguenay, dans le roman, comme dans la vraie vie et pas comme dans ce film, était un Royaume, avec une déesse, des mouches à feu, toute.
2. La bêtise de la mise en scène et de l'écriture échouent complètement à comprendre ou…
Oh, que c’est rafraîchissant de voir des personnages agir de façon autant naturelle. Les répliques sont justes et quand ils sont high, OH que c’est accurate.
Mais à base, si je revois Antoine Desrochers encore dans le rôle du badboy qui est le love interest inatteignable du personnage principal féminin, j’abandonne le cinéma québécois.
C’était beau.
hey gang la drogue c mal
Mais pour vrai, tout ça est salement bien foutu et joué, avec une mise en scène qui essaie (et des fois réussit) à produire une énergie de proximité qui n'est pas sans rappeler le cinéma de Kechiche, par exemple. Dépeault, Loiselle et L'Houmeau, entre autres, ont des visages qui portent beaucoup, et Barbeau-Lavalette sait comment les filmer. Par contre j'ai pas lu le roman mais j'aurais peut-être du, j'ose croire que ce serait au final pas mal moins creux et moralisateur (en tout cas j'espère?) et qu'on tomberait davantage dans l'intériorité de son personnage et moins dans la surenchère de descriptions visuelles de jeunes gens qui se poudrent. Je mentirais en disant que le film m'a pas fait vivre de quoi, mais mon dieu que j'aurais pu embarquer à 100% si ça essayait pas aussi fort d'être LA VIE D'ADÈLE et DEGRASSI en même temps.
Avec son film La déesse des mouches à fruits, Anaïs Barbeau-Lavalette offre un coming of age local réussissant habilement à se détacher de ses contemporains à travers un soucis du détail sublime et une direction de la photographie géniale (bien sûr grâce au cadre, mais aussi par cette lumière exquise, rendre Chicoutimi cinématographique, faut le faire). La mise en scène remplie d'une grande sensibilité permet une profondeur dans des personnages secondaires ayant pu être rapidement relégués à des rôles de soutien, et le casting solide soutenu par des performances béton rend le tout ma foi assez immersif. Le film est parfois freiné en millieu de parcours par une progression narrative floue ainsi qu'une certaine redondance dans les conflits, mais on lui pardonne rapidement avec quelque peu de recul puisque l'impression qu'il nous laisse est mature et amère. yahoooo vive le cinéma keb brap brap
Je vais être ce dude qui compare le film au livre, sorry. Ce qui rends le livre de Geneviève Pettersen unique, selon moi, ce sont pas les spécificités narratives du coming-of-age mais bien le contexte social du Saguenay en 1994. Évidemment, venant du Saguenay, ça me parle, mais je trouve que le livre est excellent à dépeindre un monde - monde qui n’est pas vraiment dans le film. Nominalement ça se passe au Saguenay mais ça a été tourné ailleurs en majeure partie pis tout le slang du livre a été éliminé pour quelque chose de plus « universel ». (Personne commençait ses phrases avec « yo » au Saguenay en 1994 - certainement pas des pouilleux qui font de…
De base, je suis un fan des coming-of-age. Des films d’ados je t’en mange comme ça se peut pas! Donc quand j’ai su que Anaïs Barbeau Lavalette faisait un film adapté du roman de Genevieve Pettersen, mes attentes étaient élevées! Après l’avoir manqué en salle cette automne, je retourne enfin dans une salle de cinéma pour le voir!
Pis oui c’était beau, les performances assez formidables et il y a vraiment des beaux moments de cinéma là-dedans, mais j’sais pas c’était des fois trop académique pis ça surlignait les métaphores comme ça se peut pas! Mais je pense c’est vraiment comment le scénario présente le mal de vivre de la protagoniste que le film s’égare. C’est confus, pis... c’est juste ben long! Bref c’est dommage!
MAIS,
le retour en salle, bien accompagné en plus, ça ça fait du bien! Jaser, discuter, débattre. Donc une demi étoile de plus!
Les salles sont mortes. Longues vies aux salles.
Bon, je pense que le thème de l'ado en crise est pas mal saturé, spécialement au Québec. Ça commence plutôt bien, mais ça devient rapidement vide, prévisible et répétitif. Par contre, tous les acteurs sont top-notch et aident à passer à travers les nombreuses longueurs.