Ne sois pas stupide et comprends,
Si j'avais comme toi vingt ans,
Je te couvrirais de promesses.
L’Été dernier dresse un portrait différent de relations interdites représentant, de façon prédominante, un homme comme ennemi.
Ainsi, une femme mondaine et accomplie se laisse tomber dans une chute sans fin, et récidive.
Les antagonistes et protagonistes s’entrechoquent et s’échangent les rôles, jusqu’à ressentir la gêne de notre parti pris. On a honte pour elle, peine pour lui, dégoûté par l’un, fasciné par l’autre.…